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es Provençaux et par les pentes de l’Apennin.
Pierre Dubois
(env. 1250-1320) Contemporain de la Monarchie (1308), l’essai de P
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Contemporain de la Monarchie (1308), l’essai de
Pierre Dubois
(1306) s’en distingue par un empirisme sans vergogne, ou si l’on veut
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re dans son Histoire littéraire de la France 63.
Pierre Dubois
naquit certainement en Normandie et très probablement à Coutances ou
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que l’on ne se tromperait guère en supposant que
Pierre Dubois
naquit vers 1250. Dubois embrassa la carrière des lois au moment même
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taient arrogées jusque-là. En 1300, nous trouvons
Pierre Dubois
exerçant à Coutances les fonctions d’avocat des causes royales. Déjà,
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ur, fût si bien renseigné… La pensée dominante de
Pierre Dubois
était la résistance aux empiètements de l’Église et l’extension des p
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hr. L. Lange 66, d’exposer les idées du traité de
Pierre Dubois
d’après le plan suivi par l’auteur lui-même. Son ouvrage n’a rien de
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r Chr. L. Lange dans son ouvrage monumental. Pour
Pierre Dubois
comme pour Dante et Marsile de Padoue, la paix est le summum bonum. M
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rganiser la société chrétienne. Mais à cette fin,
Pierre Dubois
élimine la solution admise par la plupart de ses contemporains : la m
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du nord au sud. La « république chrétienne » de
Pierre Dubois
est une sorte de Confédération, qui serait placée sous la direction d
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s moyens judiciaires afin de régler les conflits.
Pierre Dubois
développe alors un projet détaillé d’arbitrage international entre le
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ant celle de Philippe le Bel et de Boniface VIII.
Pierre Dubois
est le premier qui l’a posé, et qui a tâché d’en indiquer une solutio
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rini Le roi de France n’avait guère écouté son
Pierre Dubois
. Cent-cinquante ans plus tard, à l’autre bout de l’Europe, un autre m
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e des États et des nations naissantes, — celle de
Pierre Dubois
— qu’entendait se fonder ce plan fédératif : il prenait acte d’une si
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(1405-1464) On aura remarqué que ni Dante, ni
Pierre Dubois
, ni Podiebrad, ne font usage du nom d’Europe ou de l’adjectif europée